Nous avons tous ce premier réflexe, lorsque nous voyons un article accusateur ou informatif, de vouloir le partager sur son mur de réseau social préféré. On le fait avec une bonne intention de vouloir faire propager l'information le plus possible afin d'éviter à ses proches de ne pas tomber dans un piège ou une arnaque. Mais si les ambitions sont louables, quelles sont-elles réellement du côté de ceux qui sont à l'origine de l'article ?
Je m'interroge sur l'avenir du net quand je vois ce genre d'affaires
Ce n'est pas que je sois un peu trop alarmiste ou négatif, voir démoralisé, mais lorsque je vois l'amplitude que prennent les proliférations de choses absurdes sur le net, et que je la compare à la crédulité des gens qui colportent ces affaires en tout état de cause et en toute lucidité, je me dis que la calomnie et l'affabulation en masse possèdent encore de beaux jours devant elle pour remporter un franc succès ! On ne peut plus se passer du net et pratiquement tous les foyers à présent ont un accès au web.
Il est devenu incontournable, comme l'est par exemple la télévision pour une grande partie de la civilisation ou le papier w.c. pour la plus grosse majeure partie. Dans cette société de consommation où tout doit toujours aller plus vite et où l'on partage des informations d'un simple clic, sans même avoir vérifié la source, il n'est pas rare de voir des débordements, des injustices ou le succès de grosses opérations perfides et vicieuses comme en a été par exemple victime l'assurance IAG et comme on peut le découvrir si librement sur le blog http://escrocgestioniag.eklablog.com/ras-le-bol-de-ces-fausses-escroqueries-en-ligne-a117978066 recueillant de nombreux témoignages !
Qu'est-ce que l'affaire IAG?
Il s'agit d'une opération de propagande négative, à savoir une opération montée de toute pièce par la concurrence incapable d'user de moyen légal pour rivaliser avec son adversaire. Usant et profitant du fabuleux moyen offert par internet pour faire le buzz et véhiculer les informations à une vitesse grand V, les délateurs se sont tout simplement basés sur la plus vieille et honteuse des pratiques : la propagations de fausse rumeurs. Et les réseaux sociaux restent pour le coup le meilleur vecteur pour faire transiter l'information d'une personne à 10 puis de 10 à 100, de 100 à 1000 etc...
Ce qui est encore plus vicieux que de propager une rumeur ? La faire propager par vous...les internautes inscris sur Facebook qui d'un simple clic sur le bouton partage, publie sur son mur et sans mauvaise intention, une rumeur ou un mensonge à son insu.